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 L'histoire de solunne [1ere PARTIE]

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4 participants
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Solunne

Solunne


Féminin Nombre de messages : 64
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MessageSujet: L'histoire de solunne [1ere PARTIE]   L'histoire de solunne [1ere PARTIE] EmptyVen 29 Sep 2006 - 18:35

Voila la 1ere partie de mon histoire ^_^ Je suis pas hypper douée mais bon, je m'amuse bcp en l'écrivant ^^

J'espers que vous apprecierez la lecture !


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Première larme:


Comme beaucoup de récits, le mien ne va pas commencer en son tout début, ma naissance.
Non, mon histoire commence il y a 7 ans.
A l'époque je vivais une vie d'enfant, avec mes parents, ma grande sœur et mon petit frère.
Mon père était un dresseur, éleveur d'animaux.
Ma mère une guérisseuse réputée pour ses actions de sage femme, "accoucheuse".
Nous vivions à la campagne, au nord de la ville de sufokia.
Mon frère était né ce printemps et déjà l'hiver faisait poindre son bout du nez.
J’éprouvais une véritable fascination pour mon petit frère, ce petit bout souriant. Depuis son arrivée il était devenu ma "passion" un cadeau de ma mère, de la vie. J'allais moi même sur mes 13 ans et le voir évoluer m'émerveillait. Tant de vie et de joie dans un si petit corps. Je passais donc mes journée entre mon père qui m'enseignait son savoir afin de prendre sa suite un jour et le bébé. J'aidais maman pour ne pas la fatiguer et trouvais un lien certain entre le travail de papa et le fait d'élever un enfant. J'adorais cela!
Ma sœur, aine de 1 an, était rentrée en école de médecin. Elle suivait dignement les traces de maman et ne rentrais que tard le soir.
Ce matin la, je sentais l'air pesant...ma respiration était difficile. Je ne dis rien.
Mais tout ce précisa a midi lorsque mon père rentra pour déjeuner. Il était fou de rage.
"Tu te rends compte! Il m'ont saccages toute les palissade, enfonce un mur, mange mon élevage en grande partie, pour les bêtes qui n'avaient pas réussi a s'enfuir dans la nature..."
Il continuait
"Des animaux douées et dressés, je suis ruiné. Il n'y a jamais eu de bêtes féroces par ici! Il as fallut que cela tombe sur moi..."
Tout au long du déjeune mon père expliquais que tout laissait a penser qu'il s’agissait d'un groupe mulou. Vu la taille des coups de griffes et de crocs laissés sur les palissades et autres portes.
Il irait prévenir la garde car cela n'était pas normal et qui plus est dangereux pour la population.
J’étais tellement triste! Je passais beaucoup de temps au chenil de papa et je m’étais attachée à tous ses animaux. Tom, le fantôme costaud toujours souriant! Zimzoun le petit chaton futé!...
En y pensant j‘avais même eu de la chance! La veille j’avais faillit laisser mon Willy chéri là bas (mon compagnon de tout le jour offert par mon papa à mon 3ème anniversaire.) puisqu’il il était malade! J’avais finalement et bien heureusement décidé de m’en occuper seule, à la maison, comme papa m’avait appris!
Maman servais le café de papa quand soudain, un fracassement de bois sortit tout le monde de ses pensées. Papa se leva et fila dehors comme un boulet de canon. Maman par reflex sortie mon frère de la chaise pour bébé, me le tendit.
« Soso ma chérie ! Prend ton frère et restez cachés! Je vais voir ce que c’est ! »
Puis elle répéta en s’éloignant inquiète: «restez caché !!!! »
Je m'exécutais! Caché avec mon frère dans le faux fond de l’armoire. J’étais tétanisée!
J’entendais des beuglements, des cris, des fracas dehors et je ne voyais rien!
Papa et maman allaient ils bien! Alors je me rappelai que Willy devait être dans la maison…
Je cherchais un moyen de l’appeler sans me faire remarquer quand je sentis dans ma poche, en les palpant, qu’il me restait un bonbon tofu ! (Ces charmantes petites boules acidulés et colorés en forme de tofu). A peine avais-je commencé à ouvrir le papier du bonbon que j’entendais déjà Willy gratter à l'armoire!
Je le fis entrer discrètement et rapidement.
«Il faut que tu me dise ce que font papa et maman mon Willy, chuchotai je lui mettant le bonbon dans le bouche, fait bien attention ! Ne te fais pas voir et reviens vite ! »
Je fermais les yeux et récitai les paroles que maman m’avais apprises pour le mot de prévention. Le sort fonctionnât !
Je souris « huuuhuuu cha-pete j’ai pas EC !!! » pensais je
Ceci devrait le protéger quelques temps, au cas ou la situation se dégradait pour lui.
Il décampât furtivement après que je lui déposé un bisou sur son bout de nez.
Je serrais fort mon frère dans mes bras. Il était calme, lui…
Plusieurs dizaine de minute plus tard Willy refit son apparition, il était mort de peur au point que j'eu du mal a le comprendre. Il était catégorique. Mon père et ma mère se battaient dans la coure contre 3 espèces de gros chiens debout.
"Les mulous qui ont attaques le chenil" pensais je a juste titre.
Un long frisson m'électrisât l'échine.
J'avais toujours entendu dire que ces bêtes étaient sans pitié et de redoutables prédateurs. Je me mis a prier pour puisque je ne pouvais rien faire d'autres que d'obéir aux ordres de maman:"restez cache"
Je ne saurais pas, même aujourd'hui, combien de temps je suis restée, la, serrant dans mes petits bras mon frère et willy. J'étais tétanisée, je n'avais qu'une peur, que la porte s'ouvre et qu'une bete aux dents acérées nous dévore. Mon frère, bien heureusement, s'endormis vite ainsi que ce paresseux de willy.
J'entendais toujours de l'agitation dehors. La voix de mon père qui intentait, des beuglements de bêtes blessés...des rugissements de haine.
Le froid, la peur et mon impuissance eurent raison de moi...je m'évanouis.

Cette douce sensation blanche et chaude… Je la reconnue de suite. Je rêvais des bras de maman.
Etions nous dans le ciel, posées sur un nuage ? Cela y ressemblais en tout cas.
Le silence, le vide, la lumière, l’air. Tout étais si doux ici…et pourtant, je pleurais.
Je n’étais pas « triste » puisque mon cœur n’étais pas douloureux comme lorsque l’ont est éploré.
Pourtant les larmes ne cessaient de perlés comme une rosée sur les roses du jardin.
Maman se tenait devant moi, souriante. Papa me regardais de son air tendre et calme.
«Pourquoi pleure tu mon soleil ? » demanda mon père.
Je ne pouvais répondre, ici, ma bouche ne réagissait pas.
« Tu as peur ? » demanda maman comme si elle avait lu mes pensées.
« Tu ne doit pas » continuait mon père. « Tu est déjà grande, toi et ta sœur aussi ! Je compte sur vous »
Ma tête indiquait que je n’étais pas d’accord. Ils sourirent tendrement tout les deux. Ils étaient si beaux !
Au loin j’entendais la voix de mon frère… cette voix qui, petit a petit me ramenas dans mon armoire, dans le noir.
Mon frère était réveillé et Willy me léchouillais le visage. Je mis, par reflex, la main sur la bouche de Tommy, mon petit frère, afin que l’ont ne nous remarque pas. J’écoutais attentivement… combien de temps avait ont dormis… ?
Tout semblais silencieux.
Je décidais de sortir, seule, laissant Tommy et Willy caché.
La nuit était en train de tomber dehors ce qui laissait a penser que j’étais restée évanouie au moins 3 ou 4 Heures.
La maison était vide et ma peur entière. Par la fenêtre, je ne voyais personne dehors. Je sortis.
Désert… Je courais vers la grange, une grande battisse de pierre et de bois. La porte semblait déjà entre ouverte, je poussais la porte…
Ce que je vis ce jour là est encore graver au plus profond de mon esprit, de mon cœur et de mon âme.
Des murs couvert de sang, les cloisons interne détruites, le tout sans dessus dessous.
La violence du combat qui avait eu lieu ici sautait aux yeux.
Trois grosses bestioles de type gros loups étaient repartis ici et là, morte.
Maman était étalée au sol, inerte. Papa, tenant la main de maman, étais a son coté, face contre terre et blessé a mort.
Je compris de suite que tout était finit…
Le sentiment qui me parcourut fut la rage, la haine mêlé l’incompréhension et la douleur !
Ma poitrine me brûlait, comme transpercé de 1000 épines et mes jambes avaient cessés de me supportés.
Mon poing n’arrivait pas à s’arrêter de frapper le sol.
En silence… la colère montait en moi. Et plus la colère montait, plus mon poing frappait fort !
En silence je sentis mes premières phalange se brisés a l’impact sur le sol, je frappais toujours et toujours plus fort.
En silence, mon sang commençait à couler par terre en formant une petite flaque.
En silence je me vidais de mes larmes comme on saigne.
Pourquoi était il si douloureux de na pas pouvoir crier !! Je le voulais pourtant !

J’entendis soudainement un bruit derrière moi, la porte.
Je me retournais avec surprise, Minicoeur, ma sœur, étais dans l’encadrement de la porte.
« Mais …qu… » Elle ne put même pas parler…
Lorsque je la vis, mon cœur fit un sursaut et un long cri d’agonie sortit enfin de ma gorge.
Ma sœur tombât à genoux avec toute l’incompréhension du monde ! Les larmes redessinaient son visage d’habitude si joli et enjoué.

Cette dernière larme qui coulât, avant que je ne me relève, était, comme l’amour des mes parents, a jamais indélébile, noir, comme cette partie de mon cœur qui venait de mourir.
Ma sœur regardais cette marque sur ma joue et ne comprenais pas.
Je me mis, avec bien du mal, sur mes deux jambes, face a ma sœur.
Puis le lui dis : « ils sont partis mini ….Je les ai vues dans les nuages… »
Ma sœur était toujours arrêtée sur cette larme noire, figée sur ma joue.
« Je vais faire comme ils m’ont dis ! Je vais être grande ! Et ils seront les plus fiers ! Crois moi ! »
Je serais de toutes mes forces le poing, face à mini, dégoulinant de sang.
Mon poing était cassé… la douleur en ce moment fut si bonne … je m’évanouie de nouveau.


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study A suivre ... ^^
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Tadauss

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MessageSujet: Re: L'histoire de solunne [1ere PARTIE]   L'histoire de solunne [1ere PARTIE] EmptySam 30 Sep 2006 - 12:03

study


Il est ou le passage ou tu parles du plus beau, merveilleux et gentil de tous les srams ? ;p
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Miyuh

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MessageSujet: Re: L'histoire de solunne [1ere PARTIE]   L'histoire de solunne [1ere PARTIE] EmptySam 30 Sep 2006 - 19:43

Sad pauvre choupinette Sad *se mouche bruyemment puis repleure*
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mikimoto

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MessageSujet: Re: L'histoire de solunne [1ere PARTIE]   L'histoire de solunne [1ere PARTIE] EmptyLun 2 Oct 2006 - 16:06

elephant
Ah vivement la suite
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MessageSujet: Re: L'histoire de solunne [1ere PARTIE]   L'histoire de solunne [1ere PARTIE] Empty

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